SOUFFRANCE PAR LE HARCELEMENT AU TRAVAIL

Depuis quelques temps, la Ville de Paris sensibilise les différentes directions et ses encadrants au bien-être et à la bienveillance au travail.

Or, force est de constater qu’un certain nombre d’agents se retrouve en situation de souffrance au travail, soit par le biais de collègues, soit par le biais des managers.

 
Plusieurs cas de figure ont été rapportés à notre organisation syndicale :

 – Commentaires déplacés sur la tenue vestimentaire d’un agent,

 – Placardisation d’agents qui se voient retirés des tâches, ou des agents en situation de reconversion ou contractuels,

 – Prise d’initiatives condamnée par la hiérarchie,

 – Cas d’un agent victime de harcèlement moral avéré dans la sphère privée et qui a empiété sur la sphère professionnelle.

Pour le dernier cas, malgré les recommandations faites par la hiérarchie de l’agent (SMP, SAM, plainte…) et les preuves matérielles apportées par l’agent (SMS, appels…), aucune mesure de protection n’a été appliquée par la direction. Seule une enquête administrative a été diligentée et qui n’a pas été suivie d’effet.

Pourquoi l’agent harcelé devrait-il quitter son poste alors qu’il est la victime ? Le harceleur alors a-t-il tous les droits ?

La Ville de Paris prend-elle la mesure de ses engagements en matière de protection des agents ?

L’UNSA attend une réelle application de ce que préconise la Ville de Paris en matière de harcèlement et demande aux directions de suivre les directives de la Ville!

L’UNSA reste à votre écoute et se tient à votre disposition pour tout accompagnement.

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